Les oasis autour d'Iquique
Nous avons commencé par l'oasis de Mamiña : village thermal de moins de 500 habitants à 2700 m d'altitude (au pied de la cordillère des Andes). Le village est construit sur les pentes désertiques de la montagne, la végétation étant préservée dans le creux de la toute petite vallée. Ce village comporte une dizaine d'hotels (quand même !), dont 7 réservés aux mineurs qui travaillent dans les environs, et le reste pour les touristes essentiellement chiliens.
Baignoires et douches sont alimentées par de l'eau de source : 42°C pleine de souffre et de potassium, donc une odeur particulière et il faut faire couler le bain 2 heures avant de le prendre pour avoir une chance de rentrer dedans sans se brûler !
Après 2 nuits nous sommes partis pour l'oasis de Pica (beaucoup plus grande : 2500 habitants, à 1300 m d'altitude), en passant par le salar de Huasco : au coeur de l'altiplano, c'est un salar avec des lagunes sauvages peu visitées, de nombreux animaux y vivent tranquillement (lamas, alpagas, nandus, flamands roses...). A 3800 m d'altitude, c'était magnifique !!

Tous nos déplacement dans le désert se font en 4x4 sur des routes ou des pistes sans voir âme qui vive pendant des heures, parfois quelques villages abandonnés, ou des vestiges anciens.
Pica est un immense verger (agrumes, mangues, goyaves...) avec une piscine naturelle (eau de source à 30°C) souvent bondée, mais nous avons une piscine aussi dans la pension où nous logeons.
Depuis Pica nous sommes allés voir des géoglyphes, quelques villages alentour, visité un verger et essayé de voir des traces de dinosaures fossilisées, mais là nous avons dû abandonner au vu de l'état de la piste (et les quelques squelettes d'animaux le long de la piste n'étaient pas là pour nous rassurer et nous encourager !).
Nouveau texte de Léna :

Et de Mailis :

Nous changeons maintenant de désert pour celui de l'Atacama et San Pedro, les courses pour les filles sont terminées...
Baignoires et douches sont alimentées par de l'eau de source : 42°C pleine de souffre et de potassium, donc une odeur particulière et il faut faire couler le bain 2 heures avant de le prendre pour avoir une chance de rentrer dedans sans se brûler !
Après 2 nuits nous sommes partis pour l'oasis de Pica (beaucoup plus grande : 2500 habitants, à 1300 m d'altitude), en passant par le salar de Huasco : au coeur de l'altiplano, c'est un salar avec des lagunes sauvages peu visitées, de nombreux animaux y vivent tranquillement (lamas, alpagas, nandus, flamands roses...). A 3800 m d'altitude, c'était magnifique !!

Tous nos déplacement dans le désert se font en 4x4 sur des routes ou des pistes sans voir âme qui vive pendant des heures, parfois quelques villages abandonnés, ou des vestiges anciens.
Pica est un immense verger (agrumes, mangues, goyaves...) avec une piscine naturelle (eau de source à 30°C) souvent bondée, mais nous avons une piscine aussi dans la pension où nous logeons.
Depuis Pica nous sommes allés voir des géoglyphes, quelques villages alentour, visité un verger et essayé de voir des traces de dinosaures fossilisées, mais là nous avons dû abandonner au vu de l'état de la piste (et les quelques squelettes d'animaux le long de la piste n'étaient pas là pour nous rassurer et nous encourager !).
Nouveau texte de Léna :
Vendredi 6 février 2009 |
Nous avons passé quelques jours à Pica, une petite oasis dans le désert, dans la pampa de Tamarugal. Nous sommes partis en voiture dans le désert jusqu'à une montagne où il y avait des géoglyphes. Ce sont des grands dessins faits avec des pierres par les indiens pour retrouver leur chemin. Ils représentaient des lamas, des personnages, des condors et des formes géométriques. Bisous, Léna. |

Et de Mailis :
De Iquique à Calama : du 30 janvier au 4 février 2009 |
Quand nous avons quitté Iquique, nous avons visité la ville d'Humberstone. C'est un petit village abandonné depuis 1960 parce que l'usine de salpêtre qui faisait vivre les gens a fermé. La piscine était très profonde et faite en fer. L'école était belle et il y avait encore les bancs et les tables et le tableau. nous avons vu le théatre, je suis allée sur la scène. la ville était bizarre parce qu'il y avait toutes les maisons et les magasins, l'hopital, l'école et plus personne n'y habitait, et c'était une jolie ville. Tout le monde parlait espagnol. |

Nous changeons maintenant de désert pour celui de l'Atacama et San Pedro, les courses pour les filles sont terminées...